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 Manifestations culturelles à propos du Rwanda

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ibukafrance
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MessageSujet: Manifestations culturelles à propos du Rwanda   Manifestations culturelles à propos du Rwanda Icon_minitimeMer 8 Mar - 9:14

Le lundi 6 mars à 20h: SHOOTING DOGS de Michael Caton-Jones
GB/All, 2005, 95min. vost
Avant-première
Synopsis : Cette histoire, basée sur des faits réels, met en opposition deux personnes : un fervent catholique et un idéaliste. Michael, prêtre catholique anglais, installé depuis de longues années à Kigali au Rwanda s'est lié d'amitié à un jeune enseignant-coopérant, Joe, dont c'est la première expérience africaine. Embarqués dans la tourmente des premières heures du génocide rwandais, ils vont vite atteindre les limites de leur propre courage. Confrontés aux événements, totalement impuissants, incapables de juguler la haine, ils n'ont qu'une alternative : rester et mourir ou fuir et trahir.
Rencontre avec José Kagabo (historien à l’EHESS), Sonia Rolland, Dominique Sopo (Président de SOS Racisme)

Dans le cadre Du FIFET, du 2 au 8 mars 2006
À la Cité des sciences et de l’industrie et à la Géode


Dernière édition par le Mer 8 Mar - 9:26, édité 1 fois
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ibukafrance
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MessageSujet: Re: Manifestations culturelles à propos du Rwanda   Manifestations culturelles à propos du Rwanda Icon_minitimeMer 8 Mar - 9:26

Théatre, Films, Débats.

Rwanda: "Une saison de machette" à Confluences

Théâtre ::
Du mercredi 15 mars au dimanche 9 avril
Tarif Unique: 10 Euros
"Une saison de machettes"


Récits recueillis par Jean Hatzfeld. Editions du Seuil, Paris 2003.
Adaptation et mise en scène :
Dominique Lurcel - Compagnie Passeurs de mémoires


Avec : Amélie Amphoux, Céline Bothorel, Mathieu Desfemmes, Tadié Tuéné.
Musique et contrebasse : Yves Rousseau.
Lumière : Philippe Lacombe

Basé sur les récits de cultivateurs hutus, alors déjà jugés pour le meurtre de quelques milliers de leurs voisins tutsis, ces témoignages recueillis par Jean Hatzfeld vont au delà du regard de ces hommes sur leurs propres actes. Dans un mélange sidérant d’inconscience et de profondeur, ces hommes décrivent tous les mécanismes individuels, collectifs et politiques qui sont au rendez-vous de toute entreprise concertée de massacre de masse. « Sans rien penser »-une de leur formulation familière-, ils interrogent l’universel au plus profond de chacun de nous.
Cette pièce s’adresse à tous et renvoie à l’Arménie, à Auschwitz, au Cambodge. Il ne s’agit pas de désespérer l’auditoire – à quoi bon ?- mais d’essayer de comprendre. Parce que ce qui interroge le plus, finalement, dans ces paroles, c’est leur insupportable proximité.

Du mercredi au samedi à 20h30 et dimanche à 17h00

Vendredi 17 mars : Débat :
Table ronde AIRCRIGE après la représentation d'"Une saison de machette"
en présence du metteur en scène Dominique Lurcel

Née en 1997, l'Association Internationale de Recherches sur les Crimes contre l'humanité et les Génocides est une association de chercheurs interdisciplinaire et ouverte au-delà de l'Université. Son objectif est de mettre en relation des individus, des groupes et des savoirs héritiers d'événements différents, pour créer l'espace d'échange qui manque entre la recherche, le témoignage et la critique politique, afin de transformer notre rapport sinistrement polémique, culturel ou amnésique à ces événements en un travail de pensée attentif aux réalités présentes et prochaines.
AIRCRIGE vise à l'élaboration d'un lien transversal et réflexif entre les différents groupes rescapés ou héritiers de telles destructions, ainsi qu'avec leurs héritiers indirects, c'est-à-dire tous.

Invités:
José Kagabo (historien à l'EHESS), Catherine Coquio (présidente de l'Association Internationale de Recherche sur les Crimes contre l'Humanité et les Génocides), Serge Kamuhinda (étudiant en droit à Paris V), Claude Mouchard (professeur de l'Université Paris 8, autour de la problématique du voyage et de la réception des témoignages, "Le lieu et la parole").

Samedi 18 mars : Débat :

Débat après la représentation d'"Une saison de machette"

avec Stephen Smith et Jean Hatzfeld (sous réserve),
en présence du metteur en scène Dominique Lurcel

Stephen Smith: Stephen Smith parcourt l'Afrique depuis vingt-cinq ans, pour Libération puis pour Le Monde. Il est l'auteur, chez Calmann-Lévy, de nombreux ouvrages, dont Oufkir, un destin marocain (1999), Bokassa Ier, un empereur français (2000) et Négrologie, pourquoi l'Afrique meurt (2003), qui a reçu le prix Essais France Télévisions 2004.


Jean Hatzfeld (sous réserve): Jean Hatzfeld est né en 1949. Il entre au quotidien Libération en 1977. Jusqu’à la fin des années 80, il écrit principalement sur le sport : courses de moto, tennis, football.
Puis il devient correspondant de guerre. Au Liban, en Israël et Palestine. En Haïti.
En 1991, il est parmi les tous premiers journalistes à arriver au cœur du conflit des Balkans, à Vukovar, en Croatie, assiégée par les Serbes. Gravement blessé en 1992, longtemps immobilisé, il retourne ensuite en Bosnie.
De son expérience en ex-Yougoslavie, il tire deux livres :un récit, L’air de la guerre (éd. de l’Olivier. 1994), et, plus tard, un roman, La guerre au bord du fleuve (éd. de l’Olivier.1999).

A partir de 1997, il partage sa vie entre Paris et Nyamata, un bourg à une trentaine de kilomètres au sud de Kigali, et il se consacre au récit du génocide rwandais, en donnant d’abord la parole aux rescapés –les grands oubliés des Médias- :c’est ,en 2000, Dans le nu de la vie. Récits des marais rwandais (éd. du Seuil), puis en recueillant les paroles des tueurs : c’est Une saison de machettes (Seuil. 2003).

Dimanche 19 mars : Débat :

Débat après la représentation d'"Une saison de machette"
avec Esther Mujawayo et Souâd Belhaddad (auteurs de "SurVivantes" ed. L'Aube, 2004)
en présence du metteur en scène Dominique Lurcel

Esther Mujawayo, Rwandaise, Tutsi, parle. Souâd Belhaddad écoute, écrit. Elles relisent. Prend forme, peu à peu, une Esther qui s’exprime, exprime le Rwanda, le génocide rwandais. En 1994, à quelques heures d’avion d’Europe. Comment "ça" peut-il arriver? Cinquante ans après la Shoah. Et si on en réchappe, comment peut-on y survivre?

Voici l’histoire d’Esther, Tutsi donc, fille de pasteur, sociologue, mariée, mère de trois filles qui, avec elle, réchappent de la tuerie, alors que sa famille et celle de son mari – lui compris – sont massacrés. Extraordinairement forte, belle, lumineuse, vivante, Esther raconte son parcours – de sa naissance dans un village des milles collines à sa vie actuelle, en Europe. Et si nous serrons les poings d’incompréhension devant les horreurs que l’homme peut imposer à l’homme, jamais Esther ne nous impose de pathos. Magistrale leçon de vie, dont Simone Veil dit, dans l’entretien qu’elle lui a accordé et qui se trouve en fin d’ouvrage : " Vous savez, rien que de vous entendre maintenant j’ai des frissons d’émotion. D’émotion par rapport à ce passé commun, je dirais, et à cette similitude de nos situations à près de cinquante ans de distance. "
Un livre fort, impressionnant, pour qu’on oublie pas. Et pour renouveler notre espoir de plus d’humanité.

Esther Mujawayo, Rwandaise née en 1958, sociologue et psychothérapeute, vit actuellement en Europe ; Souâd Belhaddad, journaliste, lauréate du prix AFJ (Association des Femmes Journalistes) en 1994, vit à Paris.

Samedi 8 avril : Débat :

Débat après la représentation d'"Une saison de machette"

avec Jacques Sémelin, en présence du metteur en scène Dominique Lurcel
Jacques Sémelin est directeur de Recherche au CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique), et professeur à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris et à l'Institut Catholique de Paris.

En tant que chercheur, Jacques Semelin s’attache principalement à la compréhension du processus génocidaire dans une perspective comparative. Il rédige actuellement un nouvel ouvrage sur les génocides qui comportera une analyse comparative de trois cas : l’Holocauste, le nettoyage ethnique dans l’ex-Yougoslavie et le génocide rwandais.

Dimanche 26 mars à 14h30 :

Brunch avec l’équipe artistique: Dimanche 26 mars à partir de 14h30 un brunch avec l'équipe artistique sera servi avant la représentation d'"une saison de machettes".

Service de 14h30 à 16h30, formule brunch + spectacle, plein tarif: 15 euros, tarif adhérent de l'association confluences: 10 euros.

Pour y participer, téléphonez au 01 40 24 16 46 ou envoyez-nous un mail sur resa@confluences.net

Lundi 27 mars à 20h30 : Projection: "Belzec" de Guillaume Moscovitz
France, 2005 - Film d'1h40 mn
en présence du réalisateur

Sélection Officielle - Semaine de la Critique - Festival de Venise 2005
Sélection Officielle - Festival du Film de La Rochelle

Presque oublié dans l’histoire de la Shoah, Belzec est chronologiquement le premier camp d’extermination de l’Aktion Reinhard, le plan nazi d'extermination des Juifs des territoires de la Pologne occupée.

Sa destruction intégrale dans les premiers mois de l’année 1943, presque un an avant le démantèlement des camps de Sobibor et de Treblinka, témoigne de la volonté nazie d’effacer les traces de l’extermination des juifs d’Europe. Le meurtre de masse industrialisé du peuple juif par les Nazis ne s'est pas arrêté aux meurtres des vies, il a continué avec la destruction des cadavres de ceux qui avaient été exterminés : effacement des corps, des noms et des lieux. Ce qu'on appelle aujourd'hui le négationnisme était déjà au principe même du
meurtre nazi : l'effacement des traces de l'extermination faisait partie du plan d'anéantissement du peuple juif.

A part Rudolf Reder décédé à la fin des années soixante et Chaïm Hirszmann mort assassiné à Lublin au lendemain de la guerre, personne n’est revenu du camp d'extermination de Belzec pour témoigner.

En filmant les séquelles de cet effacement, le cinéaste montre la violence de notre présent : là où il n’y a que destruction, comment attester de ce qui a été ?

Tarif: Participation Libre

Mardi 28 mars à 20h30 : Projection :

"Dieu est mort au Rwanda" de Jennifer Deschamps France, 2005 - Documentaire de 40mn en présence de la réalisatrice

Rares sont les Rwandais qui ont renoncé à Dieu après le génocide. Ce documentaire leur donne la parole.

Ils s’appellent Isabelle, Innocent, frère Jean- Damascène. Chacun à leur façon, ils racontent comment ils ont “perdu Dieu”. Innocent, dont la famille a été massacrée dans une église, ne va plus prier le dimanche. Il n’a pas totalement perdu la foi : pour lui, Dieu est encore là “quelque part”. Mais il se sent trop en colère pour tourner son regard vers lui… Isabelle, qui, elle aussi, a vu mourir sa famille, livre à la caméra son ressentiment et sa douleur. Ce Dieu qu’elle a supplié de sauver sa famille, ce Dieu qui n’a rien fait, elle le rejette aujourd’hui. “On priait pour qu’on ne nous tue pas. Mais ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi on a attendu tout ce temps-là ; pourquoi on n’a pas cherché à fuir ? On est restés chez nous en attendant que Dieu nous sauve. Et on nous a tués.” Pour le frère Jean- Damascène qui a consacré sa vie à Dieu, cette perte constitue un déchirement. “Dieu a fui le Rwanda, lâche-t-il. Des hommes d’Église ont participé au péché le plus abominable qui soit sur terre.
En qui croire alors ? Où est Dieu alors ?” Il est l’un des rares à briser la loi du silence en vigueur dans la communauté ecclésiastique rwandaise aujourd’hui. Au fur et à mesure que le film avance, le spectateur comprend en effet que ces trois témoins constituent des exceptions. L’immense majorité des Rwandais continue à croire en Dieu. Si beaucoup d’entre eux ont choisi de quitter l’Église catholique, c’est pour se convertir au protestantisme ou aux mouvements religieux émergents : baptistes, évangélistes ou pentecôtistes. Isabelle confie à la fin du film que personne au Rwanda n’ose publiquement prononcer cette phrase : “Je ne crois plus en Dieu”.

Tarif: Participation Libre

Mardi 4 avril à 20h30 : Projection :

"Tuez les tous" de Raphaël Glucksmann, David Hazan et Pierre Mezerette
en présence des réalisateurs (sous réserve)

En avril 1994, le Rwanda bascule dans l’horreur. Pendant trois mois, l’armée Hutu, aidée de miliciens et de civils, va massacrer un million de Tutsi. Dix ans après, à travers l’émotion à vif des survivants et des interviews exclusives de représentants des pays occidentaux, ce documentaire révèle la préparation et la spirale folle du génocide des Tutsi, le dernier génocide du XXe siècle.
Pas à pas, cette enquête minutieuse s’interroge sur l’échec de la Communauté internationale à préserver la paix. Malgré les avertissements et les appels au secours des soldats de la paix de l’ONU à Kigali, l’indifférence et la passivité de la Communauté Internationale prévaudront. Coopérant avec le régime rwandais, la France se trouve, quant à elle, impliquée dans la formation et l’entraînement de l’armée et des milices
Hutu, les futurs génocidaires de 1994.
Le film démonte la logique d’une collaboration dangereuse et revient sur les questions essentielles : qu’est ce qu’un génocide ? Quelle est la logique de l’ONU au printemps 1994 ? Quel regard portent aujourd’hui les responsables politiques sur leurs choix de l’époque ? Un document exceptionnel où investigation, mise en perspective historique et interviews des acteurs-clés de cette tragédie se mêlent aux témoignages poignants des rescapés.

Tarif: Participation Libre

Avantage Actes If ::

Nous vous rappelons que Confluences fait partie du réseau Actes-If qui fédère 19 lieux de recherche et de création artistique en Ile de France, le réseau Actes-If édite chaque mois une newsletter qui vous permet de bénéficier gratuitement d’avantages tarifaires pour de nombreux spectacles.

Comment en profiter : Il vous suffit de vous présenter à la billetterie du spectacle choisi muni de la newsletter Actes-If, et le tarif exceptionnel vous est appliqué.


:: RESERVATIONS POUR L'ENSEMBLE DE LA PROGRAMMATION ::

:: Par Téléphone: 01.40.24.16.46 :: Par e-mail: resa@confluences.net ::
:: site web: www.confluences.net <http://www.confluences.net> :: Contact presse: Véronique Rastocle ::


La galerie est ouverte du lundi au vendredi de 10h à 18h et les soirs de représentation.
Le bar de confluences vous propose de venir vous détendre autour d'un verre ou d'une assiette composée les soirs de représentation.

:: Confluences 190 bd de Charonne 75020 Paris - M° Alexandre Dumas ::
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MessageSujet: Re: Manifestations culturelles à propos du Rwanda   Manifestations culturelles à propos du Rwanda Icon_minitimeMar 14 Mar - 11:58

>>"2.Projection-débat Tuez-les tous", suivi d’un débat Vendredi 17 mars de 19 h 30 à 22 h

En 1994, pendant trois mois, les forces armées rwandaises (FAR), aidées de miliciens et de civils vont massacrer un million de Tutsi. Dix ans après, Raphaël Glucksmann, David Hazan et Pierre Mezerette ont enquêté et démonté la logique de ce génocide en revenant sur des questions essentielles, entre autres, la responsabilité de la communauté internationale, mais également celle de la France impliquée dans la formation et l’entraînement de l’armée et des milices Hutu. Ce documentaire, à travers interviews, témoignages et mise en perspective, permet de mieux comprendre cette tragédie.

Intervenants : Georges KAPLER, Raphaël GLUCKSMAN, David HAZAN

ATTENTION CHANGEMENT DE LIEU : LA PROJECTION AURA LIEU AU FIAP, 30 RUE CABANIS, 75014, METRO GLACIERE PARTICIPATION 3 EUROS

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>>"3. Projection-débat : Au rwanda, on dit.. une famille qui ne parle pas meurt " suivi d’un débat sur les Gacacas (tribunaux populaires) Vendredi 24 mars de 19 h 30 à 22 h Intervenants : Assumpta MUGIRANEZA, Anne AGHION (réalisatrice)

ATTENTION CHANGEMENT DE LIEU : LA PROJECTION AURA LIEU AU FIAP, 30 RUE CABANIS, 75014, METRO GLACIERE PARTICIPATION 3 EUROS



Donner la parole aux gens des collines Imaginez : votre famille et vos amis ont été massacrés par vos voisins de toujours. Dix ans plus tard, les tueurs sortent de prison et reviennent s’installer près de chez vous. Vous les croisez tous les jours, vous devez travailler avec eux, et chaque fois que vous les voyez, vous vous souvenez. Imaginez maintenant que le gouvernement vous demande non seulement de surmonter votre désir naturel de vengeance, mais aussi de leur pardonner. Le pourriez-vous ? C’est le défi auquel sont confrontés aujourd’hui les Rwandais, depuis qu’en 2003, le gouvernement a libéré 16 000 personnes ayant avoué leur participation au génocide et les a renvoyées chez elles. Pour "Au Rwanda on dit... La famille qui ne parle pas meurt", Anne Aghion s’est rendue à Gafumba, la petite communauté rurale d’une colline rwandaise, pour rencontrer les habitants et tenter de comprendre comment ils font face à cette situation. (Lire la présentation complète de l’Ina)

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 4.L’implication de l’Etat français dans le génocide des Tutsi rwandais

Jeudi 23 mars de 20 h à 23 h

12 ans après le génocide des Tutsi rwandais, le rôle de la France n’a pas cessé de nous questionner et de provoquer l’effroi. Le rapport 2004 de la CEC (Commission d’enquête citoyenne, emmenée par Survie et d’autres associations), publié sous le titre « L’horreur nous prend au visage », sera notre point de départ pour comprendre jusqu’où est allée cette implication. Où en sont les recherches sur ce sujet en 2006 ? Nous cherchons à comprendre jusqu’où a été cette implication, et par quels mécanismes politiques elle a été rendue possible. Intervenants : Mehdi BA (Les Arènes), Jean-François DUPAQUIER (Journaliste) Lieu : FIAP : 30, rue Cabanis - Paris 14ème - Métro Glacière Participation : 3 €

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

5.Justice et impunité

Vendredi 31 mars de 20 h à 23 h

Pour qu’à l’horreur du génocide ne s’ajoute pas l’impunité, la parole doit être donnée à la justice. Après le génocide des Tutsi au Rwanda en 1994, le Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR) a été créé, les tribunaux rwandais et les Gacacas opèrent. La Commission d’Enquête Citoyenne (CEC) a été imaginée par des citoyens de France qui ne satisfaisaient pas des conclusions lapidaires de la mission d’information parlementaire. Ce sont des Rwandais qui ont porté plainte en France contre des soldats de l’armée française pour complicité de génocide. Des plaintes ont été déposées également il y a plus de 11 ans contre de présumés génocidaires réfugiés en France.

Intervenants : Géraud de la PRADELLE, juriste de la CEC ; Sharon COURTOUX, porte-parole de la CEC ; Alain GAUTHIER, Président du Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda (CPCR) ; Maître Didier PATRY avocat à la Cour d’Appel de Caen, avocat au Tribunal pénal international pour le Rwanda, avocat inscrit sur la liste des conseils de la Cour pénale internationale, avocat du Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda ; Intervenant de la FIDH à préciser. Lieu : FIAP : 30, rue Cabanis - Paris 14ème - Métro Glacière Participation : 3 €
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MessageSujet: Re: Manifestations culturelles à propos du Rwanda   Manifestations culturelles à propos du Rwanda Icon_minitimeMar 14 Mar - 11:59

ESTHER MUJAWAYO ET SOUAD BELHADDAD VOUS CONVIENT À LA LECTURE D EXTRAITS DE LEUR DERNIER LIVRE

LA FLEUR DE STEPHANIE

ou Rwanda, nous devons vivre avec nos tueurs. Editions Flammarion


LE MERCREDI 22 MARS A LA LIBRAIRIE L'ATELIER
2 bis RUE DU JOURDAIN À 20 HEURES
Metro JOURDAIN ou PYRÉNÉES

Au Rwanda, douze ans après le génocide des Tutsi, une politique de réconciliation décidée par les autorités rwandaises incite les génocidaires, en échange d'importantes remises de peine, à avouer leurs tueries et révéler l'endroit où les dépouilles ont été abandonnées. Ces aveux se font lors de gacaca, tribunaux inspirés de la justice traditionnelle, et face aux rescapés à qui, souvent, ne sont guère épargnés les détails les plus terribles.
Une demande de pardon, souvent formelle, doit également être adressée au parquet puis transmise aux familles de victimes. Ainsi, des milliers de prisonniers ont-ils été libérés et sont retournés vivre sur les collines, aux côtés de rescapés.
Certains d'entre eux ont choisi de s'impliquer dans la politique de réconciliation nationale et ont ainsi choisi de se confronter aux tueurs, parfois de leurs propres familles, afin de les amener à « la paix » et la nécessité de vivre ensemble.

Douze ans après le génocide, Esther est toujours, elle aussi, à la recherche de la dépouille de sa soeur adorée Stéphanie. Un tueur a avoué les faits : Esther l'a rencontré, il lui a demandé pardon et livré le nom de complices qui, eux, persistent à nier.

A travers cette quête personnelle d'Esther, nous sommes allées au Rwanda écouter la parole de ces rescapés avides de faire enfin leur deuil.
Nous avons également tenté de comprendre pourquoi certains rescapés avaient choisi d'aller se confronter à leurs tueurs pour les convaincre de rebatgir une nation commune. Qu'est ce qui détermine leur (non) choix ? Y croient-ils vraiment ? Le pardon est-il possible ? Quel en est le prix ?

Nous avons raconté cette situation absolument exceptionnelle et inouie dans La fleur de Stéphanie, hommage à la soeur d'Esther et à tous ceux qui, comme elles, ne peuvent encore avoir une sépulture digne.
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MessageSujet: Re: Manifestations culturelles à propos du Rwanda   Manifestations culturelles à propos du Rwanda Icon_minitimeMer 15 Mar - 14:14

mercredi 15 mars 2006 (11h32) :
Rwanda : "Une saison de machettes" à Confluences

Du mercredi 15 mars au dimanche 9 avril Tarif Unique : 10 Euros"Une saison de machettes" Récits recueillis par Jean Hatzfeld. Editions du Seuil, Paris 2003.Adaptation et mise en scène : Dominique Lurcel - Compagnie Passeurs de mémoiresAvec : Amélie Amphoux, Céline Bothorel, Mathieu Desfemmes, Tadié Tuéné.Musique et contrebasse : Yves Rousseau.Lumière : Philippe LacombeBasé sur les récits de cultivateurs hutus, alors déjà jugés pour le meurtre de quelques milliers de leurs voisins tutsis, ces témoignages recueillis par Jean Hatzfeld vont au delà du regard de ces hommes sur leurs propres actes. Dans un mélange sidérant d’inconscience et de profondeur, ces hommes décrivent tous les mécanismes individuels, collectifs et politiques qui sont au rendez-vous de toute entreprise concertée de massacre de masse. « Sans rien penser »-une de leur formulation familière-, ils interrogent l’universel au plus profond de chacun de nous.Cette pièce s’adresse à tous et renvoie à l’Arménie, à Auschwitz, au Cambodge. Il ne s’agit pas de désespérer l’auditoire - à quoi bon ?- mais d’essayer de comprendre. Parce que ce qui interroge le plus, finalement, dans ces paroles, c’est leur insupportable proximité.Du mercredi au samedi à 20h30 et dimanche à 17h00

Samedi 18 mars : Débat :

Débat après la représentation d’"Une saison de machette" avec Stephen Smith et Jean Hatzfeld (sous réserve), en présence du metteur en scène Dominique LurcelStephen SmithStephen Smith parcourt l’Afrique depuis vingt-cinq ans, pour Libération puis pour Le Monde. Il est l’auteur, chez Calmann-Lévy, de nombreux ouvrages, dont Oufkir, un destin marocain (1999), Bokassa Ier, un empereur français (2000) et Négrologie, pourquoi l’Afrique meurt (2003), qui a reçu le prix Essais France Télévisions 2004.Jean Hatzfeld (sous réserve)Jean Hatzfeld est né en 1949. Il entre au quotidien Libération en 1977. Jusqu’à la fin des années 80, il écrit principalement sur le sport : courses de moto, tennis, football.Puis il devient correspondant de guerre. Au Liban, en Israël et Palestine. En Haïti.En 1991, il est parmi les tous premiers journalistes à arriver au cœur du conflit des Balkans, à Vukovar, en Croatie, assiégée par les Serbes. Gravement blessé en 1992, longtemps immobilisé, il retourne ensuite en Bosnie. De son expérience en ex-Yougoslavie, il tire deux livres :un récit, L’air de la guerre (éd. de l’Olivier. 1994), et, plus tard, un roman, La guerre au bord du fleuve (éd. de l’Olivier.1999).A partir de 1997, il partage sa vie entre Paris et Nyamata, un bourg à une trentaine de kilomètres au sud de Kigali, et il se consacre au récit du génocide rwandais, en donnant d’abord la parole aux rescapés -les grands oubliés des Médias- :c’est ,en 2000, Dans le nu de la vie. Récits des marais rwandais (éd. du Seuil), puis en recueillant les paroles des tueurs : c’est Une saison de machettes (Seuil. 2003).

Dimanche 19 mars : Débat :

Débat après la représentation d’"Une saison de machette" avec ESTHER MUJAWAYO ET SOUAD BELHADDAD (auteurs LA FLEUR DE STEPHANIE ou Rwanda, nous devons vivre avec nos tueurs. Editions Flammarion )en présence du metteur en scène Dominique Lurcel Au Rwanda, douze ans après le génocide des Tutsi, une politique de réconciliation décidée par les autorités rwandaises incite les génocidaires, en échange d’importantes remises de peine, à avouer leurs tueries et révéler l’endroit où les dépouilles ont été abandonnées. Ces aveux se font lors de gacaca, tribunaux inspirés de la justice traditionnelle, et face aux rescapés à qui, souvent, ne sont guère épargnés les détails les plus terribles.Une demande de pardon, souvent formelle, doit également être adressée au parquet puis transmise aux familles de victimes. Ainsi, des milliers de prisonniers ont-ils été libérés et sont retournés vivre sur les collines, aux côtés de rescapés. Certains d’entre eux ont choisi de s’impliquer dans la politique de réconciliation nationale et ont ainsi choisi de se confronter aux tueurs, parfois de leurs propres familles, afin de les amener à « la paix » et la nécessité de vivre ensemble. Douze ans après le génocide, Esther est toujours, elle aussi, à la recherche de la dépouille de sa soeur adorée Stéphanie. Un tueur a avoué les faits : Esther l’a rencontré, lui a demandé pardon et livré le nom de complices qui, eux, persistent à nier.A travers cette quête personnelle d’Esther, nous sommes allées au Rwanda écouter la parole de ces rescapés avides de faire enfin leur deuil. Nous avons également tenté de comprendre pourquoi certains rescapés avaient choisi d’aller se confronter à leurs tueurs pour les convaincre de rebatgir une nation commune. Qu’est ce qui détermine leur (non) choix ? Y croient-ils vraiment ? Le pardon est-il possible ? Quel en est le prix ? Nous avons raconté cette situation absolument exceptionnelle et inouie dans La fleur de Stéphanie, hommage à la soeur d’Esther et à tous ceux qui, comme elles, ne peuvent encore avoir une sépulture digne.

Samedi 8 avril : Débat :

Débat après la représentation d’"Une saison de machette"avec Jacques Sémelin, en présence du metteur en scène Dominique LurcelJacques Sémelin est directeur de Recherche au CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique), et professeur à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris et à l’Institut Catholique de Paris. Auteur, entre autre du livre « Purifier et détruire » (ed seuil 2005)Ce livre, en tout point exceptionnel, est le fruit de plusieurs années de travail dans le cadre d’un programme de recherche au CNRS. Il propose une approche résolument transdisciplinaire et comparative pour tenter de " penser " les processus de violence qui aboutissent aux massacres et aux génocides de l’époque moderne. Comment de tels crimes de masse sont-ils possibles ? Quelles manipulations du langage et des esprits interviennent pour préparer le " passage à l’acte ", notamment en élaborant, préalablement, un imaginaire et une justification ? Comment s’enclenche et s’affole la mécanique du meurtre ? L’auteur fonde principalement son enquête sur plusieurs exemples : la Shoah, les nettoyages ethniques de l’ex-Yougoslavie, le génocide des Tutsis au Rwanda et encore les génocides arménien et cambodgien. Par l’ampleur de la documentation utilisée, la richesse des références bibliographiques, l’exigence permanente de l’analyse, ce livre est à la fois vertigineux et sans équivalent. On ne s’était sans doute jamais approché d’aussi près de cette énigme insondable, de ce " trou noir " devant lequel vacille l’entendement humain

Dimanche 26 mars à 14h30 :

Brunch avec l’équipe artistiqueDimanche 26 mars à partir de 14h30 un brunch avec l’équipe artistique sera servi avant la représentation d’"une saison de machettes".Service de 14h30 à 16h30, formule brunch + spectacle, plein tarif : 15 euros, tarif adhérent de l’association confluences : 10 euros. Pour y participer, téléphonez au 01 40 24 16 46 ou envoyez-nous un mail sur resa@confluences.net

Lundi 27 mars à 20h30 : Projection :

"Belzec" de Guillaume MoscovitzFrance, 2005 - Film d’1h40 mnen présence du réalisateurSélection Officielle - Semaine de la Critique - Festival de Venise 2005Sélection Officielle - Festival du Film de La RochellePresque oublié dans l’histoire de la Shoah, Belzec est chronologiquement le premier camp d’extermination de l’Aktion Reinhard, le plan nazi d’extermination des Juifs des territoires de la Pologne occupée.Sa destruction intégrale dans les premiers mois de l’année 1943, presque un an avant le démantèlement des camps de Sobibor et de Treblinka, témoigne de la volonté nazie d’effacer les traces de l’extermination des juifs d’Europe. Le meurtre de masse industrialisé du peuple juif par les Nazis ne s’est pas arrêté aux meurtres des vies, il a continué avec la destruction des cadavres de ceux qui avaient été exterminés : effacement des corps, des noms et des lieux. Ce qu’on appelle aujourd’hui le négationnisme était déjà au principe même du meurtre nazi : l’effacement des traces de l’extermination faisait partie du plan d’anéantissement du peuple juif.A part Rudolf Reder décédé à la fin des années soixante et Chaïm Hirszmann mort assassiné à Lublin au lendemain de la guerre, personne n’est revenu du camp d’extermination de Belzec pour témoigner.En filmant les séquelles de cet effacement, le cinéaste montre la violence de notre présent : là où il n’y a que destruction, comment attester de ce qui a été ?Tarif : Participation Libre

Mardi 28 mars à 20h30 : Projection :

"Dieu est mort au Rwanda" de Jennifer DeschampsFrance, 2005 - Documentaire de 40mnen présence de la réalisatrice Rares sont les Rwandais qui ont renoncé à Dieu après le génocide. Ce documentaire leur donne la parole. Ils s’appellent Isabelle, Innocent, frère Jean- Damascène. Chacun à leur façon, ils racontent comment ils ont “perdu Dieu”. Innocent, dont la famille a été massacrée dans une église, ne va plus prier le dimanche. Il n’a pas totalement perdu la foi : pour lui, Dieu est encore là “quelque part”. Mais il se sent trop en colère pour tourner son regard vers lui... Isabelle, qui, elle aussi, a vu mourir sa famille, livre à la caméra son ressentiment et sa douleur. Ce Dieu qu’elle a supplié de sauver sa famille, ce Dieu qui n’a rien fait, elle le rejette aujourd’hui. “On priait pour qu’on ne nous tue pas. Mais ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi on a attendu tout ce temps-là ; pourquoi on n’a pas cherché à fuir ? On est restés chez nous en attendant que Dieu nous sauve. Et on nous a tués.” Pour le frère Jean- Damascène qui a consacré sa vie à Dieu, cette perte constitue un déchirement. “Dieu a fui le Rwanda, lâche-t-il. Des hommes d’Église ont participé au péché le plus abominable qui soit sur terre. En qui croire alors ? Où est Dieu alors ?” Il est l’un des rares à briser la loi du silence en vigueur dans la communauté ecclésiastique rwandaise aujourd’hui. Au fur et à mesure que le film avance, le spectateur comprend en effet que ces trois témoins constituent des exceptions. L’immense majorité des Rwandais continue à croire en Dieu. Si beaucoup d’entre eux ont choisi de quitter l’Église catholique, c’est pour se convertir au protestantisme ou aux mouvements religieux émergents : baptistes, évangélistes ou pentecôtistes. Isabelle confie à la fin du film que personne au Rwanda n’ose publiquement prononcer cette phrase : “Je ne crois plus en Dieu”.Tarif : Participation Libre

Mardi 4 avril à 20h30 : Projection :

"Tuez les tous" de Raphaël Glucksmann, David Hazan et Pierre Mezeretteen présence des réalisateurs (sous réserve) En avril 1994, le Rwanda bascule dans l’horreur. Pendant trois mois, l’armée Hutu, aidée de miliciens et de civils, va massacrer un million de Tutsi. Dix ans après, à travers l’émotion à vif des survivants et des interviews exclusives de représentants des pays occidentaux, ce documentaire révèle la préparation et la spirale folle du génocide des Tutsi, le dernier génocide du XXe siècle.Pas à pas, cette enquête minutieuse s’interroge sur l’échec de la Communauté internationale à préserver la paix. Malgré les avertissements et les appels au secours des soldats de la paix de l’ONU à Kigali, l’indifférence et la passivité de la Communauté Internationale prévaudront. Coopérant avec le régime rwandais, la France se trouve, quant à elle, impliquée dans la formation et l’entraînement de l’armée et des milicesHutu, les futurs génocidaires de 1994.Le film démonte la logique d’une collaboration dangereuse et revient sur les questions essentielles : qu’est ce qu’un génocide ? Quelle est la logique de l’ONU au printemps 1994 ? Quel regard portent aujourd’hui les responsables politiques sur leurs choix de l’époque ? Un document exceptionnel où investigation, mise en perspective historique et interviews des acteurs-clés de cette tragédie se mêlent aux témoignages poignants des rescapés.Tarif : Participation Libre

:: RESERVATIONS POUR L’ENSEMBLE DE LA PROGRAMMATION :: :: Par Téléphone : 01.40.24.16.46 :: Par e-mail : resa@confluences.net :: :: site web : www.confluences.net :: Contact presse : Véronique Rastocle :: :: Confluences 190 bd de Charonne 75020 Paris - M° Alexandre Dumas ::

:: RESERVATIONS POUR L’ENSEMBLE DE LA PROGRAMMATION :: :: Par Téléphone : 01.40.24.16.46 :: Par e-mail : resa@confluences.net :: :: site web : www.confluences.net :: Contact presse : Véronique Rastocle ::La galerie est ouverte du lundi au vendredi de 10h à 18h et les soirs de représentation.Le bar de confluences vous propose de venir vous détendre autour d’un verre ou d’une assiette composée les soirs de représentation. :: Confluences 190 bd de Charonne 75020 Paris - M° Alexandre Dumas ::



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mercredi 15 mars 2006
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