"C’est une bonne culture de diversification, permettant l'amélioration de la fertilité du sol et la valorisation des intrants", a déclaré au cours d'un entretien avec la PANA, la chargée des Relations Publique au siège du CGIAR, Catherine Mgendi.
Elle a souligné que les exigences en sol pour cette plantation sont faibles, estimant toutefois que les sols légers et bien drainants comme ceux du Rwanda sont toujours préférés par la culture.
Mme Mgendi a indiqué que les principales variétés qui vont être lancées au Rwanda concernent notamment le types Morgane, Belna, Vernandon. "Le besoin en eau de cette culture est de 400 millimètres en plein champs", a-t-elle ajouté es timant que la meilleure façon sera surtout de prévenir certaines bactéries végétales qui attaquent souvent cette culture, notamment les insectes de pucerons, les mouches blanches, les mineuses, et parfois araignée), nématodes, maladies (graisse, rouille, oïdium et différentes pourritures) et virus.
On rappelle que c’est la deuxième fois que la culture de haricots verts sera introduite au Rwanda, après la précédente initiée en 1987 sous les auspices de la coopération française.